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Psychose et Neurofeedback Neuroptimal

Psychose et Neurofeedback Neuroptimal

La psychose est une maladie mentale grave qui se caractérise par une perte de contact avec la réalité, des troubles du comportement associés à des délires et hallucinations visuelles et auditives. La personne s’isole, déprime et vit des fortes angoisses. Elle perd souvent l’appétit, le sommeil ainsi que la mémoire et manifeste des troubles de concentration.

Louis, un jeune homme de 30 ans diagnostiqué avec une psychose et sous neuroleptiques est venu avec sa mère pour une série de séances de neurofeedback cet été au cabinet. Il marchait au ralenti , n’avait pas d’expression du visage mais un regard fixe, ne parlait pas. Il dégageait une fragilité certaine. Sa mère me raconte qu’avant sa maladie Louis était un jeune plein de vie, brillant étudiant et un grand sportif. Il avait une vie sociale très active.

Gros fumeur, il s’isole et ne fréquente personne à part ses proches chez qui il vit. Il souffre de crises d’angoisses qui se déclenchent au moindre bruit inattendu. S’habiller, se laver et se lever le matin est difficile pour lui.

Voici le témoignage de sa soeur après la 1ere séance de neurofeedback :

« Louis est rentré à la maison après la séance de neurofeedback, a mis son maillot de bain et il est parti nager ce qu’il n’a pas fait depuis que sa psychose s’est déclarée il y a 10 ans ».

A la deuxième séance il est encore parti nager me dit sa mère. Pendant cette 2me séance il m’a parlé un peu et il a fait trois grands sourires.

A la 3me séance la mère me dit qu’il arrive à se lever plus facilement le matin. Il s’habille et se prépare sereinement pour sortir. Il parait plus posé. Il fume moins qu’avant. Il est pressé de revenir pour une nouvelle séance de neurofeedback car ça lui fait du bien dit-il. Pendant la séance il s’adresse à moi et exprime le souhait de reprendre des cours de boxe. Il ajoute que sa mémoire du passé revient et qu’il voudrait maintenant “retrouver ses larmes”…

A la 5me séance la mère me dit que Louis est parti une journée à la mer avec ses anciens copains. Elle a également observé un changement au niveau vestimentaire. Il avait toujours très froid et portait plusieurs pulls peu importe les températures extérieures. Il porte actuellement des vêtements d’été. Il s’exprime également plus et fait des remarques concernant ses proches ce qu’il ne faisait plus depuis sa maladie.

Je propose à la famille 10 séances et faire le point sur son état. Un travail plus ciblé sur les traumatismes du passé seront à envisager après le neurofeedback pour retrouver son plein potentiel ce qui est tout à fait possible. A suivre !

Anneau gastrique

Le surpoids et l’obésité sont souvent associés à la négligence, ce qui s’avère être faux. Les régimes à faible teneur calorique peuvent aider mais le résultat ne tient pas forcément dans le temps. Il y a un facteur émotionnel tel que la compensation ou l’impuissance liées  également à la prise de poids. Beaucoup de personnes font appel à la pose d’un anneau  gastrique ce qui n’est pas sans danger (perforation et déchirure gastrique, infections à répétition). Programmer un anneau gastrique virtuel est une solution efficace et sans danger.

Voici le témoignage de Lili après une semaine de pose de son anneau gastrique virtuel: ” Le jour de pose de l’anneau je n’ai rien senti à part une forte émotion de courte durée. Le lendemain je sentais mon estomac serré et j’avais quelques nausées. Pendant les repas je ressens une sensation de satiété suivie de nausées dès une certaine quantité de nourriture ingérée qui peut aller jusqu’au vomissement.

La quantité d’aliments consommés par jour est fortement réduite. Je suis à présent écœurée par le sucre. Mes proches ont constaté que je suis plus posée pendant les repas. J’ai perdu 1 kilo en une semaine et 4k 700g en 20 jours”.

N’hésitez pas à me contacter pour toute information ou pose d’un anneau gastrique virtuel.

Stress post traumatique et Neurofeedback Neuroptimal

Le SPT (stress post traumatique)  est un trouble anxieux sévère crée par un ou plusieurs évènements traumatisants. Cet état se déclenche immédiatement après l’évènement, parfois des mois  ou des années après le choc.

Les blessures de rejet, d’abandon, de trahison, d’humiliation, les négligences émotionnelles et affectives, les agressions physiques, violences punitives, sexuelles et psychologiques  (chantage affectif, dévalorisation), un accident, une catastrophe naturelle,  un attentat, la perte d’un proche, un harcèlement extrême, sont généralement la cause d’un SPT.

 Le degré d’un SPT est particulièrement important lorsque les traumatismes sont vécus pendant l’enfance étant donné que le système nerveux n’est pas encore à maturité.

Le SPT crée un déséquilibre de la connectivité entre les deux hémisphères du cerveau, une altération de l’hippocampe, de l’amygdale et du cortex préfrontal.

Voici les symptômes les plus courants d’une personne atteinte de SPT :

La réviviscence (revivre son traumatisme en conscience ou dans les rêves), l’évitement (fuir les gens), l’hyper vigilance (être sur le qui-vive, en état d’alerte et prêt à agir), la dissociation (état de détachement, froid et distant envers les autres), les troubles anxieux, les troubles de la mémoire et du sommeil, l’agressivité et l’irritabilité (excès de colère, impulsivité), des troubles relationnels (forte dépendance ou indifférence envers les autres, position de victime, hyper conformisme), une vision faussée (on voit le danger partout ou on idéalise le monde), la mésestime de soi (dégradation de l’image de soi, symptôme de dépression), la dépression (grande tristesse, repli sur soi, état de mélancolie), l’addiction (béquille chimique ou consommation de produits licites tels que l’alcool pour s’apaiser) et les troubles alimentaires (manger soulage).  

Voici l’histoire de Thomas, 46 ans, victime de négligences affectives pendant son enfance. Il vient me voir suite à un divorce et une situation financière compliquée. Il souffre de troubles du sommeil et d’angoisses et vît des moments de grande tristesse. Sa consommation d’alcool est quotidienne et il a des tendances boulimiques.

Ensemble nous décidons un suivi de deux séances par semaine pendant trois mois.

 Thomas va de mieux en mieux au fil des séances. Son sourire est revenu, il a pris beaucoup de recul face aux difficultés de la vie, il est posé et programme des projets pour l’avenir. Il ne ressent plus le besoin de boire de l’alcool mais en consomme seulement pour se faire plaisir. Ensuite je n’ai plus de nouvelles. Je le rencontre par hasard 6 mois plus tard dans la rue. Il est heureux de m’annoncer qu’il a trouvé une nouvelle compagne et qu’il souhaite se marier.

Le neurofeedback a la capacité de restaurer les connexions synaptiques et d’équilibrer le taux d’activité des 3 cerveaux (reptilien, cortex et limbique). Equilibrer l’activité du cerveau apaise définitivement les traumatismes du passé et permet une stabilité émotionnelle durable avec un retour de son plein potentiel.

Le travail transgénérationnel

Les évènements que nous vivons créent une empreinte énergétique et vibratoire sur toute notre lignée généalogique, et cela pour toutes les  âmes incarnées ou pas d’une même famille.

Par conséquent les problématiques de nos aïeux sont également présentes dans notre énergie. C’est ainsi que nous portons les «  valises » de nos proches tels que les traumatismes, les conflits, les secrets de famille. Se libérer de ce bagage du passé fait parti du travail thérapeutique.

En quoi consiste ce travail ?

Il est fréquent que lors d’un soin émotionnel une âme proche du consultant se présente. Elle est souvent porteuse d’un message et il y a toujours un lien avec la problématique de la personne traitée. La communication entre ces deux êtres apporte une libération émotionnelle et une harmonie au sein de la famille. Il est souvent question de « pardon » ou de sentiments de compassion par rapport à l’autre. Le comprendre est un acte d’amour en soi. Parfois le pardon est compliqué mais cela n’empêche pas d’exposer le problème afin de le clarifier.

La réconciliation peut se  faire en plusieurs étapes.

Ce travail profond et réparateur de guérison est un cadeau pour l’ensemble de la famille.

Le taux vibratoire des personnes impliquées s’élève et les âmes grandissent.

Le syndrôme de Gilles de la Tourette

La maladie de Gilles de la Tourette, aussi appelée syndrome de Gilles de la Tourette, est une affection neurologique d’évolution chronique caractérisée par des tics moteurs et sonores variés et multiples, fluctuants dans le temps ( mouvements involontaires) troubles vocaux, palilalie, écholalie et coprolalie. D’autres manifestations peuvent s’y associer, comme des troubles de l’attention, des difficultés d’apprentissage ou des troubles psychologiques.

Les causes et mécanismes du syndrome de Gilles de la Tourette restent mal connus. Le système des neurotransmetteurs est en dysfonctionnement, les informations qui circulent entre les neurones sont déséquilibrées.

Aurélien 9 ans vient me voir avec ses parents pour des séances de neurofeedback. Sa mère m’explique que le psychiatre d’Aurélien a diagnostiqué un syndrome de la Tourette et lui a prescrit de la Ritaline. Elle ne souhaite pas que son fils prenne des médicaments pour l’instant. Après une thérapie familiale et un travail chez une kinésiologue elle souhaite faire un travail plus ciblé sur le cerveau. Aurélien présente des tics moteurs au niveau de la tête, du cou, des yeux et des poignets. Il se racle la gorge. Il dit des gros mots à l’école (coprolalie) et répète des phrases en boucle (écholalie). Les symptômes augmentent avec le stress.

A ce jour Aurélien a reçu 4 séances de neurofeedback. La mère me dit que les symptômes ont fortement diminué, Aurélien est plus ouvert à son entourage. Il est empathique et plus mature. Il vit moins de conflits avec les autres enfants. Il arrive à mieux gérer ses états de stress aigus (déclencheurs de tics moteurs et sonores). Ses crises de colère ont diminuées et il s’est apaisé.

Prendre soin de soi

Tout est énergie et vibration. La vibration d’un objet  ou d’un être vivant se mesure par la vitesse de rotation d’un électron autour d’une molécule. Le moteur de cette rotation est l’énergie. Ceci explique qu’un objet ou toute forme de vie porte un taux vibratoire spécifique.

Un virus  manifeste également un taux vibratoire car c’est une entité vivante. Le niveau vibratoire est différent pour chaque type de virus comme pour chaque bactérie ou parasite. Le C19 semble vibrer plus haut que le virus de la grippe saisonnière ce qui explique son degré de contamination plus élevé. Mais en règle générale le niveau vibratoire de ces entités reste bas.

Une entité au taux vibratoire bas ne peut évoluer dans un milieu vibratoire élevé.

Chez l’être humain le taux vibratoire varie d’une personne à une autre. Une personne malade, fatiguée, stressée, anxieuse, déprimée, en surpoids, consommant des produits toxiques, entourée de relations dysharmonieuses et n’écoutant pas ses besoins vibre généralement bas.

Marie, une jeune femme de 32 ans est venue chercher de l’aide à mon cabinet. Elle souffre de tachycardie au repos, manifeste des problèmes digestifs dont des  fortes acidités. Elle est toujours fatiguée et anxieuse et dit avoir suivi plusieurs traitements mais sans résultat. A noter que les médicaments et les vaccins portent un taux vibratoire très bas vu leur nature chimique incompatible avec le vivant.

Elle entame une série de plusieurs séances de neurofeedback au rythme d’une par semaine. En complément un travail ciblé sur son passé est effectué  avec une harmonisation globale par la conscience. Nous avons testé son taux vibratoire au début et après les séances. Il était plus élevé après chaque soin mais restait fluctuant.  Au bout de 3 séances Marie s’est absentée pendant 8 semaines. A son retour elle avait changé. Elle semblait avoir rajeuni, elle a perdu 6 kilos sans faire de régime. Son corps rejetait  le sucre, l’alcool, le blé et les laitages. Sa consommation de viande était quasiment nulle. (Tous les aliments que le corps de Marie ne tolérait plus sont porteurs de vibrations basses). Elle était beaucoup plus apaisée et surtout elle écoutait les besoins de son corps sans culpabiliser. Ses capacités extrasensorielles se sont développées. Elle me dit qu’elle n’est plus en résonance avec certaines relations du passé qui étaient négatives dans leur façon de penser et d’agir. Son taux vibratoire qui était aux alentours de 6500 BV est passé à 14000 BV  (échelle Bovis).

Comment libérer ses gènes

L’épigénétique se définit par l’étude des changements modifiant l’expression des gènes sans mutation de l’ADN. Notre code génétique est influencé par notre environnement, notre alimentation, notre lieu de vie, nos activités. L’expression de nos gènes est ainsi activée ou désactivée. La maladie ou les fragilités diverses programmées dans notre ADN ne sont par conséquent pas une fatalité car le phénomène est réversible. Il a été démontré que deux vrais jumeaux (monozygote) ayant les  mêmes caractéristiques physiques, le même sexe, le même groupe sanguin et  une ADN identique peuvent  connaître un état de santé très différent selon leur vécu. Le stress du quotidien mais également le stress non réglé de notre passé sont les principaux facteurs de disharmonie pour le corps et la psyché. Les neurosciences ont prouvé que le stress affecte l’hippocampe (le siège de la mémoire), le cortex préfrontal et l’amygdale. Un niveau élevé de cortisol en continu (engendré par le stress) peut dégrader le cerveau et accélérer le processus de vieillissement. Soigner les blessures du passé et choisir une qualité de vie saine et équilibrée permet de réparer le cerveau et le corps. Les japonais considèrent notre corps physique comme un temple sacré, ses ressources étant infinies et illimitées. 

“C’est notre esprit et lui seul qui nous enchaîne ou nous libère”. Dilgo Rinpoché Khyentse ( maître bouddhiste tibétain).

La mémoire et l'os

D’après certains mystiques, l’os contient le disque dur de l’histoire de l’humanité. En se connectant par la pensée ou la visualisation à un os de notre corps il est possible qu’un espace temps se manifeste. Celui-ci peut représenter le passé lointain (parfois jusqu’au début de l’évolution des espèces), notre enfance ou le futur. Apporter une attention bienveillante à l’os peut également l’harmoniser et le réparer ainsi que tout l’environnement biologique qui l’entoure. Le corps avec son intelligence illimitée peut aller encore plus loin: le processus de vieillissement cellulaire est ralenti. Certains chercheurs pensent qu’il est possible grâce à  un taux vibratoire très élevé du corps  (enclenché par exemple avec la technique de l’os), d’arrêter le vieillissement et développer des capacités extraordinaires.

Voici l’histoire de Monique, une dame âgée de 82 ans. Elle a le souffle très court, une toux grasse avec une sensation d’oppression au niveau de la sphère thoracique. La difficulté à respirer l’épuise au quotidien. Elle souffre également de douleurs aux jambes et dans le bassin. Nous avons fait un “voyage” dans l’os en posant l’attention à toutes les vertèbres (une par une), l’atlas, l’occiput et pour terminer le calcaneum et les rotules. Elle a lâché beaucoup de tensions (le baillement était systématique pour chaque os). A la fin de la séance elle respirait quasiment normalement. Elle avait une voix plus légère et joyeuse. Je décide de la rappeler le lendemain pour avoir de ses nouvelles. Elle respirait bien, les tensions au niveau des poumons se sont allégées mais elle  avait encore des douleurs intenses un peu partout. Des mémoires pénibles de son enfance qu’elle avait oublié ont refait surface. Il est trop tôt pour affirmer que ces évènements du passé soient pacifiés. Il faudra certainement un travail supplémentaire car l’accumulation de stress sur une durée de plusieurs décennies  nécessite du temps pour guérir.

Bactérie

Une patiente, Doris, est venue me voir pour des douleurs chroniques au niveau des lombaires  et du sacrum. Son dos est cambré. Elle ne peut plus toucher le sol. Elle me dit qu’elle avait souffert d’un staphylocoque au moment de la naissance de sa fille il y a 28 ans. Les douleurs sont restées persistantes malgré un traitement antibiotique.

Je me connecte à la sphère des lombaires pour « écouter » le corps. Et là, à ma grande surprise je « vois » la bactérie. J’avais devant moi un être vivant avec une conscience. Elle était interpellée par ma présence. Elle dégageait de l’émotion. Et voilà que je communique avec elle. Je lui propose de changer de vibration pour l’aider à avancer dans son évolution et pour soulager ma patiente également. J’ai eu le ressenti d’une « réponse » positive…

Cette histoire nous pousse à réfléchir sur notre rôle d’humains.  Eradiquer un être disharmonieux sans prendre en considération son existence  est ce la bonne et seule réponse ?  

Doris n’a plus mal à son dos. Le temps nous dira si ma négociation avec la bactérie a été un succès.

Les âmes en détresse

Sandrine, une jeune femme de 33 ans vient me voir pour un mal-être qu’elle souhaite guérir. Elle me dit vivre un phénomène paranormal chez elle qui s’exprime surtout la nuit  et qui la terrifie. Selon elle il s’agit d’une âme errante en colère. Je me connecte à son corps pour essayer d’en savoir davantage. Je vois  une silhouette grise masculine très perturbée. Il y a également une sensation de familiarité entre elle et Sandrine. Ma cliente ressent immédiatement qu’il s’agit de son oncle Clément. Nous décidons de rentrer en communication avec lui avec l’objectif d’apaiser la situation (à ne pas faire sans une expérience solide dans ce domaine.) Clément est en colère avec Sandrine. Il la tient responsable de conflits majeurs au sein de la famille. Sa colère l’empêche d’avancer sur son chemin et cette énergie semble bloquer également les membres de la famille. Ce genre de phénomène est toujours lié à la personne qui en est la victime. Je propose à Sandrine de faire également un travail sur elle au niveau de sa colère car tout est miroir. On fréquente toujours les personnes qui portent un même bagage émotionnel, peu importe l’histoire vécue. Avant de terminer la séance j’explique à Clément que même si cette colère est justifiée elle ne rend service à personne. Est il plus judicieux d avoir raison ou d’être heureux ? Il faut évidemment accueillir cette colère et la considérer entièrement. Les « dossiers » non réglés seront de toute manière traités un jour ou l’autre sans exception. Mais nous pouvons vivre paisiblement en attendant…Le message a été entendu puisque ma cliente m’écrit le lendemain que le phénomène s’est calmé. Il reste le travail sur Sandrine à terminer pour le soulever entièrement.

Arbre ambulant

Il y a beaucoup de parallèles entre les arbres et nous. Les racines sont pour nous nos ancêtres, notre passé, notre identité et notre lien à la terre mère. Le tronc qui est nourri par l’énergie de la terre est comparable à  l’axe qui nous porte par la colonne vertébrale. Les branches avec les bourgeons ou les fruits représentent notre sphère crânienne nourrie par l’énergie cosmique. On pourrait ajouter que les fruits ou les bourgeons sont les joyaux du ciel qui nous sont envoyés. Vivre son incarnation c’est faire « un » avec nos différents corps (physique, mental et émotionnel).

Anne, une jeune femme de 26 ans est venue faire une séance. Elle souffre d’une relation amoureuse compliquée avec des hauts et des bas en continu. Le manque de stabilité émotionnelle et les conflits réguliers ont crée un état d’angoisse quasi permanent chez ma cliente. Pendant qu’elle me raconte son calvaire une crise d’angoisse se déclenche : elle tombe par terre, se tord de douleur et pleure intensément. Son mental a pris le dessus, elle n’est plus «  dans «  son corps. Le problème avec le mental est qu’il nous envoie dans le monde de l’illusion, des concepts et des croyances. Le corps nous ramène à la réalité et au présent. Un travail d’enracinement ramène rapidement Anna dans son axe.

Parfois un «  déracinement » du corps peut s’avérer dangereux. Barbara, une dame d’une cinquantaine d’années vient me voir pour un conseil. Elle a très peur et pense perdre « pied ». Elle me raconte qu’elle est somnambule (sommeil hypnotique). Elle est épuisée. Elle roule en  voiture la nuit, parfois plusieurs centaines de kilomètres et ne se rappelle de rien le lendemain. Son compteur affiche un kilométrage différent  la veille.

Le phénomène peut s’expliquer par un déséquilibre corps/esprit. Barbara venait de vivre un choc émotionnel intense.

D’après certains mystiques, l’humanité semble souffrir d’un manque d’enracinement. Les blessures du passé dérèglent le chakra racine (notre sécurité de base) et empêchent l’énergie de circuler. Le mental prend le dessus et c’est la porte ouverte aux comportements instables, incohérents et aux délires. Il est impératif de devenir « un arbre ambulant » et de revenir à notre seule et unique réalité : notre corps.

Hémiplégie

Jade, une jeune fille de 18 ans est venue accompagnée par sa mère pour une séance de neurofeedback afin de se détendre. Elle souffre d’une hémiplégie droite des membres inférieurs et supérieurs  provoquant des troubles moteurs avec des douleurs au niveau des articulations immobiles dont une spasticité locale. Cette paralysie est la conséquence d’une atteinte au cerveau côté gauche qui s’est déclenchée à la suite d’un AVC au moment de sa naissance. Les médecins proposent de la soulager avec une injection de toxine botulique (botox) afin de réduire la spasticité des membres atteints. Il n’y a à ce jour aucune preuve que ce traitement soit durable et la manifestation des effets secondaires n’est pas rare. Après la première séance de neurofeedback la spasticité s’est nettement réduite. Par le passé Jade crispait fortement tout son corps pour chaque mouvement effectué par le membre affecté. Ce reflex a disparu. En complément du neurofeedback je propose à Jade d’aider le cerveau à se soigner lui-même par la visualisation. (Livre ” Guérir grâce à la neuroplasticité” Belfont 2016).

La plasticité du cerveau porte cette capacité de s’auto-transformer. L’expérience mentale tels que la visualisation, les mouvements, le son et la lumière permet au cerveau de changer sa structure et son fonctionnement. Cette expérience modifie et répare les connexions neuronales.

Nos pensées modifient notre cerveau. Et cela marche également pour la douleur. En visualisant le cerveau au moment d’une douleur physique ou émotionnelle celui-ci se reconfigure et la douleur diminue durablement (voir les travaux du professeur M.Moskowitz). Il est pertinent de changer de paradigme surtout quand il s’agit de notre santé. Notre vision des choses (notre conditionnement), notre façon de penser, d’agir et de parler peut nous enfermer ou nous libérer. Dire à une personne malade qu’elle a toutes ses chances de guérir, peu importe l’étiquette que la science médicale lui a attribuée, lui ouvre une espérance de guérison et non de fatalité. Le phénomène quantique est bien réel. Nos possibilités sont infinies.

Les vertèbres parlent

Aline, une dame âgée de 80 ans me contacte pour un soin par téléphone. Elle ne peut malheureusement pas se déplacer. Elle est «  cardiaque » et les médecins proposent de lui installer 3 stents afin de dilater ses artères pour éviter un infarctus. Elle respire lourdement et tousse au moindre effort. Elle ne sort quasiment pas pour ne pas trop fatiguer son corps. Je lui propose de « travailler » sur le sternum pour libérer la respiration. Une attention en conscience sur cette zone la soulage un peu. Elle revient « dans » son corps. Sa connexion terre/ciel se rétablit. Nous décidons de faire un voyage avec les dorsales, le but étant de libérer au mieux la sphère thoracique. Le travail commence sur la 1ère dorsale. Bâillements à répétition et émotions diverses la traversent pendant toute la séance. Une mémoire pénible se manifeste à la 4ème dorsale : sa mère s’était ouverte les veines. Aline se souvient de cet épisode tragique. On accueille les émotions et petit à petit la vertèbre s’éclaircit (d’après ses mots). A la 5ème dorsale un autre souvenir s’exprime : Aline se rappelle des douleurs dorsales provoquées par un dur labeur à la ferme quand elle était jeune adulte. Nous harmonisons la vertèbre. A la 6ème vertèbre Aline se souvient de la douleur qu’elle avait éprouvée lors de la naissance de son fils. La famille l’avait séparée de son enfant. La séparation était heureusement de courte durée. A la 7ème et 8ème dorsale nous avons eu l’immense privilège de ressentir deux présences (2 saints) qui nous accompagnaient pour le soin. Ce sont des états de grâce qui nous sont accordés. Gratitude à ces êtres ! A la 9ème dorsale nous ressentons une forte crispation au niveau de l’os frontal et du chakra coronaire. Aline me raconte qu’une thérapeute du passé lui avait envoyé des pensées malveillantes (elle l’avait senti au niveau de son 3ème œil, le centre de l’intuition) la cause était probablement liée à de la jalousie. Aline a des dons dont elle se servait pour guérir les gens ce qui a déclenché cette animosité. Je souhaite m’exprimer à ce sujet car la malveillance et les actes de magie et de manipulation faites sur autrui ne sont malheureusement pas rares. L’effet miroir est une réponse systématique de l’univers. Comme  dit le dicton «  on récolte ce que l’on sème ». On paye toujours la « facture » un jour ou l’autre. Et il s’avère qu’elle est bien plus salée que ce que l’on imagine…Nous terminons avec les 3 dernières dorsales. Le corps s’harmonise au niveau du bassin, de la colonne, de la région du sternum, des cervicales et du cerveau. Aline se sent beaucoup mieux. Il y a probablement encore des mémoires à apaiser. Elles se présenteront certainement plus tard. Je profite pour exprimer toute ma gratitude à tous les êtres qui nous ont accompagnées lors de ce voyage. Ils  nous permettent de « grandir » et d’évoluer sur notre chemin d’évolution de la conscience.

Se former aux soins énergétiques

Une formation de soins énergétiques (Reiki, Lahochi ou autre) est aujourd’hui accessible à tous. S’inscrire à un stage  pour apprendre des techniques énergétiques suffit pour se lancer comme praticien sur le marché du soin alternatif. Il y a pourtant un aspect fondamental pour ces pratiques qui est largement occulté dans ces formations et qui concerne le Soi. Accueillir une personne en détresse, savoir l’écouter avec une véritable disponibilité (éco-résonance)  se mettre en posture d’effacement de soi avec toute l’humilité que cela comporte, voilà  les vrais défis du praticien. Cela demande un travail sur soi qui est très long, profond et quotidien. Il y a également  la problématique du mental qui est en attente d’un certain résultat lors du soin. Diriger, contrôler ou vouloir « bien faire » sont ses pièges…Comment savoir véritablement le besoin de l’autre ?Est il peut-être plus pertinent d’être accompagnateur que praticien ?  Mes recherches dans ce domaine ont démontré que le non-agir et la non-ingérence pendant l’écoute et le soin sont les meilleurs moyens de vivre des états de grâce venus d’ailleurs. Ma présence peut mener à des rétablissements spontanés mais cela  n’est aucunement entre mes mains. L’effacement de soi est important car le soin ne sera pas dérangé par d’autres énergies telles que des manifestations du mental. Le travail sur soi est la seule réponse à une pratique de soin pour autrui. Observer, confronter et prendre entièrement en compte ses blessures du passé est le seul moyen de se «dégager » du soin. Une formation en soins énergétiques se doit d’aborder ces sujets. Etre le soin sans le pratiquer est l’objectif à atteindre.